Une resucée d’un post paru ailleurs.
Deux parties
Dans la vie courante, comme dans le sport ou la passion, il y a toujours deux parties. Imbriquées et liées au point qu’elles ne peuvent exister l’une sans l’autre. Celui qui regarde, le lecteur et l’auteur, celui qui travaille. C’est un dû, une gageure qui doit être tenue d’un côté comme de l’autre, c’est bien connu. Plus l’on est observé moins on a envie de paresser. Lorsque l’auteur se donne, le lecteur est insatiable et il faut, sans cesse, pour écrire, s’installer à sa table. Choisir ses mots, les prendre doux et acceptables, beaux et délectables. Tout prendre pour argent comptant, sans rechercher l’approfondissement, sinon, le risque de déception serait grand. Se méfier d’une esthétique agréable, le clinquant est surprenant, mat ou brillant, régalant les prunelles de joie. Ses éclats sont acides et indigestes, révulsant pour les yeux. La lecture doit être un plaisir où l’on ne doit découvrir aucun désenchantement. Joie et tristesse font partie du jeu, indiscutablement, toutefois aucun argument ne doit déchirer le papier méchamment, même par accident !
Liza
Deux parties
Re: Deux parties
Tu recycles ? Manque d’inspiration ou la méthanisation déteint sur toi ?
Enfin l'égout et les odeurs sont des affaires personnelles !
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Le nègre en littérature c'est un blanc qui travaille au noir pour un écrivain marron ! (Popeck)
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Re: Deux parties
Pouce levé !Liza a écrit : Choisir ses mots, les prendre doux et acceptables, beaux et délectables.
Inattendu ! Mais oui, pourquoi pas !régalant les prunelles de joie.
Quand les Shadoks sont tombés sur Terre, ils se sont cassés. C'est pour cette raison qu'ils ont commencé à pondre des œufs.