Le Spleen de Paris

En ce moment « mon onde » ressemble davantage à un fil de fer barbelé. Tous ceux qui approchent se piquent !

Dès que je me lance dans quelque chose, je me fourre dans le pétrin ou j'y fourre quelqu'un ! La solution est simple, désormais, je ne me fourre plus nulle part !

C'est bien ce que je disais, tu as une vie extraordinaire. Raconte !

Je ne vois pas ce qu’il y a d’extraordinaire à faire annuler la finale d’un concours d’écriture. Sniff...

Je me fourre dans tous les mauvais coups ! Finish, je me planque !

Tu leur as fait peur ?

À propos du mot avatar, Liza a écrit : « Je connais « les sens » même si elle manque par ici en ce moment, il n'y a que du gazole, ce qui rend les plaisanteries plus grasses ! L'ancienne classe a vite fait de sauter au plus approximatif. Certains prétendent que c'est ce qui fait leur style. C'est le charme poussiéreux des brocantes, surtout « ne pas secouer » pour éviter d'éternuer et vos poumons, cracher. Lou, cela se lit sans respirer !!! »

Sans respirer ! Par crainte d’avaler de la poussière sans doute ! Liza devrait-elle se lire avec la gentillesse et la délicatesse au fond des yeux, uniquement pour ne pas friper ses mots ? Ne compte plus sur le fer poussiéreux de la vieillesse pour repasser les vocables froissés par l’âge qui sortent de la friperie de ta jeune tête et de ta fraîche mémoire toutes deux emplies d’antiquailles !

Cet apophtegme te convient-il ?

« Ne compte plus sur le fer poussiéreux de la vieillesse pour repasser les vocables froissés par l’âge qui sortent de la friperie de ta jeune tête et de ta fraîche mémoire toutes deux emplies d’antiquailles ! »

Sans respirer, avec cette phrase, tu confirmes mes dires !

@ Loustic Rien dire ou tu as définitivement oublié de respirer, je t'ai connu plus « expiré »