Le Spleen de Paris

En fait, j'adore ce sujet. Chacun livre ses petits secrets et une part d'intimité tout à fait acceptable du point de vue de la pudeur.

Merci Lisa pour ta réponse !

Pour ma part j'écris toujours le soir pour ne pas dire la nuit. C'est le seul moment où j'ai du temps disponible rien que pour moi, sans être sollicitée par le travail, les enfants, le mari... Donc, quand tout le monde est couché et que le silence règne en maitre sur la maisonnée, je peux laisser filer les mots sur le clavier.

J'ai pris l'habitude d'écrire à l'ordinateur. Pas évident au début (il y a 15 ans ) mais maintenant ça va tout seul, et surtout ça évite le fastidieux travail de retranscription.

Je ne fais jamais de plan, j'ai une écriture compulsive. Par contre, j'ai toujours une idée qui tourne dans ma tête sur le contenu général du texte, que je rumine parfois pendant plusieurs jours avent de m'y mettre. Je peux rester de long mois sans rien écrire et puis m'y mettre pendant des nuits et des nuits. C'est comme ça que j'ai écrit un texte autobiographique il y a 5 ans, pendant des nuits entières, sans dormir ou presque. Au final, un manuscrit (tapuscrit devrai-je dire, mais ce mot est moche ) de 25 000 mots et 308 000 sec qui dort dans la mémoire de mon ordi. Je le laisse décanter pendant quelques mois, puis le relis, le trouve à chier, tente de le corriger, me dis que c'est nul et le relaisse mariner pendant un temps indéterminé .
Voilà, rien de très rationnel et organisé dans la tête de la Dolo

Je ne sais pas si j'aurai un jour le courage de poster des extraits de ce texte très personnel. Et puis, je ne suis pas sure que ce soit intéressant pour des lecteurs qui ne me connaissent pas. Les lecteurs aiment les biographies des gens célèbres, pas la vie d'un sujet lamda. C'est d'ailleurs assez logique.

Il faut oser « Qui ose gagne » disent les parachutistes

Liza a écrit :Il faut oser « Qui ose gagne » disent les parachutistes

Oui, mais ceux qui se sont écrasés au sol ne disent plus rien...
Bon d'accord

C'est vrai statistiquement un sur douze millions de sauts. Serais-tu celui-là ?

Tu veux un élastique ?

Je parlais pour sauter.

Sans parachute !

Tige verte et vermoulue sans doute !

J'avais dit que j'écrirai un truc sur les tétines ! Les grosses et les petites, celle tirent celles qui gouttent. Bof, j'ai encore du temps !