Re: Dimanche
Publié : 12 septembre 2016, 16:43
Ta cage d'escalier me rappelle celle de l'immeuble bourgeois de « Pot Bouille » de Zola. Avec cette image de colonne vertébrale, je crois. Peut-être est-ce le même immeuble, qui sait ? Y-a-t-il une cour intérieure ? Les domestiques y parlaient de leurs maîtres et y déversaient leur rancœur avec des mots crus.
Après c'est autre chose, du Dostoïevski, l'immeuble de la vieille usurière dans Crime et châtiment, grâce au personnage de ta concierge slave.
Une cerise : « Le vent frémit doucement dans les arbres dont les dernières feuilles ne sont déjà plus qu’un semis d’étoiles fanées. »
Remarque très juste : nos proches sont une partie de nous-mêmes, ils sont notre constitution. Les perdre, c'est perdre un peu de notre corps. Possédons-nous quelque chose en propre ?
Une cerise : « Les paupières closes, les lèvres entrouvertes, je me laisse embrasser par le ciel »
Jojo le glacier est admirablement croqué. Ainsi qu'Albert, le rouge-gorge. Je t'aurais bien présenter Charly de Fontenay et Mademoiselle Fifi de Balaruc. Je crois que cette dernière est déjà sur le forum. Elle vient tous les matins picorer mes céréales.
Après c'est autre chose, du Dostoïevski, l'immeuble de la vieille usurière dans Crime et châtiment, grâce au personnage de ta concierge slave.
Une cerise : « Le vent frémit doucement dans les arbres dont les dernières feuilles ne sont déjà plus qu’un semis d’étoiles fanées. »
Remarque très juste : nos proches sont une partie de nous-mêmes, ils sont notre constitution. Les perdre, c'est perdre un peu de notre corps. Possédons-nous quelque chose en propre ?
Une cerise : « Les paupières closes, les lèvres entrouvertes, je me laisse embrasser par le ciel »
Jojo le glacier est admirablement croqué. Ainsi qu'Albert, le rouge-gorge. Je t'aurais bien présenter Charly de Fontenay et Mademoiselle Fifi de Balaruc. Je crois que cette dernière est déjà sur le forum. Elle vient tous les matins picorer mes céréales.