Le Spleen de Paris

QU'ils ne soient pas la mesure étalon de la littérature, ça c'est sûr ^^ haha nous ne le saurons jamais !

Dans le détail. Je te dis tout en vrac, parce que, malheureusement, j'ai peu de temps (Thétis n'est pas travailleuse en ce moment) et parce que maintenant, on se connaît, on est à la maison.

Je te propose : enfilage de vêtements plutôt que « endossement ». Je crois que ce dernier ne marche que pour les chèques.

« slaloment », je ne connais pas. Tu me diras ce que c'est.

« le sourire qu'elle se bat pour afficher » : je comprends l'idée mais c'est alambiqué. Logiquement, ton prof de français devrait se régaler en te collant un « mal dit ». A mon époque, c'était comme ça. Plus quelques sarcasmes que je lui inspirais. Bref ! Tu pourrais dire : « La voilà partie pour une journée où elle devra lutter pour afficher un inaltérable sourire, etc. » Pour éviter la répétition, la suite deviendrait : « elle va tenter de ne pas songer à cette personne... » (tu fais sauter « Tout au long de la journée »).

« sans importance quelconque pour beaucoup » ---> « anodine » ?

« elle s'ose à repasser devant ce café » : l'œil mi-clos de l'examinateur vient de s'ouvrir, il reprend son affreux stylo rouge Que dis-tu de « elle va jusqu'à repasser devant ce café... », « elles ose repasser... » ?

« ouvre de la bonne humeur » pas compris l'idée, explique-moi.

« En tout cas, plus simple que de s'avouer que tout est terminé. » Je trouve la chute surprenante. J'aurais plutôt pensé, que rien n'était fait, que tout restait à faire.

J'ai beaucoup aimé :

« des papillons prenaient vie dans son propre ventre »

« la naissance des papillons sortant de leur chrysalide »

« contrainte de se vêtir de son masque, éternellement. »

Et ton texte sonne juste, il est riche. Je suis sûr que tu peux lui apporter beaucoup de choses encore. Merci

Merci beaucoup Montp' pour tes corrections !

Pour "slaloment", je me suis trompée je voulais mettre "slalomant".

ton prof de français devrait se régaler en te collant un « mal dit ». A mon époque, c'était comme ça. Plus quelques sarcasmes que je lui inspirais.

D'accord, je note, tu lui inspirais des sarcasmes ?

« ouvre de la bonne humeur » pas compris l'idée, explique-moi.

Je parlais d'une bouteille d'alcool en fait, c'est une métaphore que j'ai entendu je ne sais où, dans une chanson je crois, mais apparemment je ne sais pas l'utiliser

« En tout cas, plus simple que de s'avouer que tout est terminé. » Je trouve la chute surprenante. J'aurais plutôt pensé, que rien n'était fait, que tout restait à faire.

Ah bon ? Ce n'est pas clair avec la séparation de leurs chemins dans le café ? J'avoue que je n'ai pas mis assez de lieux symboliques représentatifs d'une réelle relation !

Merci encore, je vais le modifier d'ici la fin de la semaine, ça yest, l'heure est venue de troquer la plume contre le stylo bic !