Le Spleen de Paris

Les caresses de chiens donnent des puces. Arrête tes flatteries.

En gros c'est que j'aurai répondu.

Je maintiens roder dont le sens (habitué, ajusté) me parait plus proche de l’idée (que rôder traîner sans but avec d’éventuelle mauvaises intentions)

Liza a effacé son fichier. Désolé, les commentaires vont être veufs. Sauf si Montparnasse peut regrouper les fils.

Il faut aussi qu'elle précise le but final de Camille puisque, faut d'en respecter la lettre elle souhaite en maintenir le sens.

Dans un souci de confort de lecture, j'ai rassemblé les deux paragraphes du livre en un seul fichier PDF. Nous ajouterons les chapitres suivants à ce même fichier. De cette façon vous aurez toujours accès à la dernière version.

L’affaire Camille (Bientôt un livre)

C'est un vrai confort de lecture ce fichier pdf ! Merci !

Fusionner oui, mais déplacer les messages dans le sujet, niet, je n'ai jamais réussi. Ils se classent automatiquement en fonction de leurs dates. J'ai regardé dans la DB, impossible de mettre la main sur les messages et leurs dates de création, sinon je l'aurais modifiée.

Ou bien je modifie le premier message de Dona pour y ajouter le lien... C'est le plus simple.

@Liza : je ne donne pas le lien direct vers ton pdf dans ton index pour que tout le monde, disposant du lien, ne puisse y accéder. Ici, ça reste limité au groupe VIP.

Je le comprenais bien ainsi. Je ne suis pas opposée à rendre le texte accessible à tous. Toutefois, je préfère attendre qu'il soit plus étoffé. La moitié, cent pages par exemple.

Histoire de décourager les simples curieux ! Ou les copistes. Aïe la trame est déposée, gare à leurs fesses...

Tu répares mon ânerie comme tu peux !

J'ai lu la « suite ». La description de la maison est touffue. C'est un vrai labyrinthe, d'où sors-tu tous les détails de ce bunker ultra sécurisé ? Vis-tu dans ce genre d'endroit ? (smile) Pour l'instant, j'ai un peu de mal à m'orienter dans ta maison. Peut-être ces passages sont-ils trop longs ? Que d'autres donnent leur avis. En revanche, ton récit me semble très bien construit. Bon courage !