Le Spleen de Paris

Non !
On est tous du même âge en plus. Chacun y va de ses aspirations et de ses craintes, de ses désirs et de ses écueils... Le pique-nique du midi permet d'échanger plus amplement.

Il faut que j'aille m'acheter une paire de bottes en caoutchouc. En effet, pour répondre à nos besoins narratifs, on a besoin de voir de visu certains environnements : les marais, le bocage, une exploitation agricole pour deux d'entre nous. Certains (dont moi) ont demandé à rencontrer la gendarmerie, on doit visiter deux trois châteaux, une maison de maître (pour les Traces), un office notarial... Les investigations sont multiples. Pour l'instant, c'est tout nouveau tout beau mais la pression va monter.
C'est inscrit dans un projet de littérature régionale et l'environnement doit vraiment participer à l'intrigue.
Il faudrait écrire une page par jour... J'écris plutôt par compulsion et surtout quand j'ai du temps.

A + Liza

Une paire de bottes pour écrire. Toi aussi tu vas toucher la réalité du doigt. Très bonne expérience.
Tu vas suivre le chemin que Lou m'a fait prendre en me traînant partout, j'espère que ta curiosité sera sans fin.
Enfin, j'avais encore beaucoup à découvrir, plus de guide, dommage.

Liza a écrit : 18 septembre 2017, 14:30 Une paire de bottes pour écrire. Toi aussi tu vas toucher la réalité du doigt. Très bonne expérience.
Tu vas suivre le chemin que Lou m'a fait prendre en me traînant partout, j'espère que ta curiosité sera sans fin.
Enfin, j'avais encore beaucoup à découvrir, plus de guide, dommage.

Oui mais toi tu es toute jeune ! Tu as encore du temps pour faire tout ça, veinarde !

Pfiou !...

J'en bave !...

Qu'est-ce que je regrette d'avoir choisi une histoire pluvieuse dans les marécages... Me voilà avec une veuve et un cadavre sur le dos, moi qui adore écrire gai et parler d'amour !...

Je déteste cette histoire!

Tu peux toujours redresser la barre, la sortir du marécage et la rendre plus gaie.
Avec ton imagination tu peux l'orienter facilement vers un autre paysage.
Après la pluie vient le soleil.

Hola Spleeniens !


Je suis à fond dans "Les Traces", j'affiche aujourd'hui 187 096 signes espaces compris au compteur. Je ne suis qu'à la moitié. On doit rendre le manuscrit fin mai. Entre le travail et le roman et la vie de famille, je n'ai plus le temps de passer. Si je m'accorde trop de loisir, je n'arriverai pas à finir. J'écris trente pages d'un coup mais je les réécris après coup, vingt fois de suite... Il faut maintenant que je trouve des infos sur le fonctionnement de la Gendarmerie, les souterrains vendéens et les fables mythologiques de ce pays... Où cela me mènera-t-il ? Je n'en sais rien mais j'ai rédigé la dernière page, le plus difficile étant ce qu'il y a au milieu...

Biz à vous tous !

Bravo pour ton entêtement...

Quand on parle du loup...

Vous avez parlé du loup ?


Montparnasse ! comment j'adore trop ton nouvel avatar !!!!

Nous nous étonnions de voir ta page blanche ou ton encrier vide...
Je ne craignais pas pour ton inspiration, je te rassure.