De quel film sont tirés ces dialogues ?

[Liza]

Un peu plus !

— C'était votre sœur.
— J'ai pas de sœur.
— Vous n'avez pas de sœur ? Je lui ai dit qui est à l'appareil, et elle m'a dit : « sa sœur ».
— C'est pas votre sœur ?
— C'est son nom, Sasseur. Marlène Sasseur.
— J'pouvais pas savoir, moi. Elle me dit : « C'est Marlène Sasseur. » Avouez que c'est confusant."

Dona a filé à l’anglaise !

[Montparnasse]

Ca me dit quelque chose ton truc... Si j'avais la musique en plus des paroles... Chez moi, il n'y a que les oreilles qui fonctionnent. Je n'utilise qu'elles parce que j'ai autant de mémoire visuelle qu'un poisson rouge.

[Liza]

C'est très connu et dans mes précédents posts, il y a des indications.

[Montparnasse]

Tu es dure en négociations ! (rires)

[Liza]

Un autre morceau :

« — Il est maintenant tout seul dans son grand appartement, à mélanger l'alcool et les médicaments et je suis très inquiet pour lui, parce que je sais qu'on peut mourir d'amour ! »

[Montparnasse]

800 messages !

[Liza]

J'ai gagné un coup de cidre et des galettes... à la confiture, superbe !

Lorsque j'atteindrai mille, ce sera le Champagne, je te préviens.

L'année prochaine... j'aurai dix huit ans et le droit de picoler...

Suis pas idiote ! je refuse les invitation à dîner...

[Montparnasse]

A 1000, tu changes de « rang », c'est comme à l'école. Dona est passée par là, elle est devenue grande, maintenant elle s'émancipe, fait l'école buissonnière, abandonne la Petite Bretagne pour la Grande. Et le pauvre Pompon reste seul.

Quel est ce rang ? Je ne sais plus, c'est trop loin, je suis trop vieux, j'ai oublié. Moi aussi, j'ai été grand autrefois.

[Liza]

Nous verrons bien si j'y arrive.

Le moment où nous nous creusons la tête à produire des choses banales arrive toujours à un temps ou un autre.

Je baisse d'après mes proches. Le vieillissement commence à vingt-cinq ans. J'ai sans doute démarrer trop vite, j'ai pris de l'avance.

[Dona]

Le dîner de cons ! !!