Le Spleen de Paris

Ah ! C'est gentil d'avoir commenté, merci !

Je pense que je vais tenir compte de certaines de tes remarques qui me semblent vraiment fondées.

Ce passage fait écho au chapitre 18 ( où de Varque tombe amoureux), ça doit faire une boucle, donner une réponse, reprendre le thème...


Merci en tout cas !

Pourquoi pas :

Comment il avait été submergé par cet amour neuf et si inattendu ! Combien de fois avait-il été défait puis avait combattu lors de leur première rupture ?

Le reste est dit !

Je pinaille un peu !

Le mot pris un écho particulier dans l’esprit de de Varque. J'aurai écrit prit.

de de Vargue fait un peu bizarre

Clara était revenue... Et encore tout à l’heure.

La continuité de la phrase ne nécessité pas la capitale à et.

Rien ne vaut l'œil de la Chouette ! (smile)

Montparnasse a écrit : 23 avril 2018, 17:21 Rien ne vaut l'œil de la Chouette ! (smile)

C esr clair !

Merci Liza !

C'est certain ! un œil au bout de chaque doigt, c'est plus sensible !
Parfois je me fais avoir parce que je ne m'attends pas à une faute à ce mot.
Alors je touche en glissant, c'est comme la dyslexie.

Je fais beaucoup de fautes sur la longueur mais c'est aussi parce que je fais beaucoup de coupé-collé. Même en relisant dix fois, je ne vois pas les fautes sur l'ordi. Je suis obligée d'imprimer sur papier pour les voir. Mais là, à force, ça revient cher... J'ai déjà écumé deux forfaits de 500 photocops depuis octobre. A 35 euros le forfait, sans compter quelques achats de livres indispensables, des entrées de musée et pas mal d'essence pour sillonner quelques départementales, ça finit par faire un budget.

@Montparnasse : c'est bien aussi que tu lises sans connaître l'histoire et sans commencer par le début. C'est comme un lecteur qui feuillette un livre en librairie ou dans une médiathèque. "Prends ? Prends Pas ?"

Quand je vois un texte signé « Dona », je prends sans feuilleter. Pour l'énergie et l'inspiration que je connais.

En vérité, j’ai plus de facilités que vous et de l’avance.
Je lance une lecture double en audio et au clavier en même temps.
J’écoute le texte et mes doigts trouvent ou pas ce que j’ai entendu.
Ce qui ne m’empêche pas de me tromper.
D’arrêter la lecture pour réfléchir, voire me remémorer la règle.
Le seul ennui, c’est que je suis obligée de copier le fil dans l’éditeur de texte pour obtenir une lecture double.

C’est certain, la principale source d’erreurs ce sont les corrections, les accords et la conjugaison sont modifiés et cela nous échappe. Les romans historiques entraînent une obligation de renseignements. Marraine a arrêté ce genre de rigolade à cause de cela.

Courage !

Elle ne rigole plus, Marraine ? C'est triste, ça !