Le Spleen de Paris

Chronique sur un ton melancolique... C est l occasion de dresser quelques portraits très vivants, toujours en connivence avec la narratrice. C est un peu triste sans l etre . La vie prend toujours le dessus. Un léger ton badin évite peut-être a l auteur de trop s attarder sur son mal être, C est la marque de fabrique de Servanne ! C est un beau texte. J aime beaucoup aussi la description de cet escalier haussmannien qui donne un cachet particulier a ce récit.

C'est toi sur la photo ?

Servanne a écrit :Ben voui... elle est moche c'est ça ?^^

Bah non ! ... C'est le contraire ! C'est sympa ce sourire sur un forum !

Tu es devenue « Perroquet bavard », ça ne m'étonne pas Mais « Mouette rieuse » collait plus avec ta photo.

Nous sommes meilleurs lorsque nous parlons de nous...

C'est le sujet que nous connaissons le mieux, pardi !

Bravo, joli texte.

J'essaie de détacher les miens, j'ai du mal. Je compense en utilisant « je » pour représenter n'importe qui.

"Le présent se conjugue simplement à la sécheresse émotive mêlée de la frustrante douleur de n’avoir pu dire à ceux qui ont disparu combien on tenait à eux."
Bien joué, joli zeugma !

Les feuilletons de ta vie, qui peut s'en lasser ? (s'enlacer)

Pas moi, tu les racontes trop bien. Tu sublimes les scènes ordinaires, patitpatata je fais des compliments, je sais. Mais les lectures de tes textes sont en général un véritable plaisir. Tant que tu nous en fourniras, tout ira bien !

Comment une jolie fille pétillante comme le meilleur Champagne pourrait saouler qui que ce soit ?
N'est-ce pas le symbole de la fête, le trinque, (enfin, devrais-je dire je déguste) déjà à la santé de la joliesse avec ma gamine !
J’aime lorsque l'on dit : moi, je. C'est un pléonasme narcissique qui met tes qualités en avant et dissimule la partie défaut et laisse à peine la place au doute. Exprimant une façon de faire, c'est une recette. Exprimant une idée, c'est une préférence ou l'étincelle qui annonce ou prolonge un bon moment ou une belle aventure.
Jeune fille, continuez de raconter vos belles journées à nous, les anciens, qui avons passé notre jeunesse dans des endroits cernés de murs séparant les filles et les gars. Vivez votre époque avec les joies de la découverte précoce.

Où suis-je parti ?

Je viens de lire ton texte, il était temps je sais ! Je ne suis pas bonne pour les critiques, mais ce que je peux dire c'est qu'il me plaît beaucoup ce texte ! La simplicité mêlée à la sensibilité, un duo de choc, j'adore ! Moi non plus je ne me lasse pas de tes histoires personnelles !

Tes surnoms sont de mieux en mieux Quand tu "te la pétais", c'est sûr que ça avait son effet, mais là aussi, et je trouve qu'on se sent plus proche comme ça