Pharos
Publié : 22 août 2018, 07:24
Tu éclaires ma vie comme un phare invisible
Qui brille à mon sommeil sans ravir à la nuit
La mélodie lactée du mystère intangible
Que tisse aux rets du temps chaque étoile qui luit.
Quand je suis loin de toi, l’écho de ton sourire
Dessine à mon visage un masque assez charmant
Où chaque homme croisé sur ma route peut lire
La béate expression de mes tendres serments.
Qu’ils soient gravés ici au marbre des poètes !
J’aime à n’en plus rêver d’autre bonheur que toi,
À hurler alentour en criant à tue-tête
Ton nom dans chaque langue et dans tous les patois,
Pour qu’en chaque recoin du port et de la ville
Nul ne puisse ignorer que le Monde a changé
Et que les feux ardents d’une nouvelle idylle
Brûlent au doux creuset des soupirs échangés.
Qui brille à mon sommeil sans ravir à la nuit
La mélodie lactée du mystère intangible
Que tisse aux rets du temps chaque étoile qui luit.
Quand je suis loin de toi, l’écho de ton sourire
Dessine à mon visage un masque assez charmant
Où chaque homme croisé sur ma route peut lire
La béate expression de mes tendres serments.
Qu’ils soient gravés ici au marbre des poètes !
J’aime à n’en plus rêver d’autre bonheur que toi,
À hurler alentour en criant à tue-tête
Ton nom dans chaque langue et dans tous les patois,
Pour qu’en chaque recoin du port et de la ville
Nul ne puisse ignorer que le Monde a changé
Et que les feux ardents d’une nouvelle idylle
Brûlent au doux creuset des soupirs échangés.