Le Spleen de Paris

Une vieille composition que j'ai ressortie du fond
d'un tiroir poussierreux, à vous de me dire ce que vous en pensez.

La nuit le jour qui nous séparent
Se mèlent d'un étrange brouillard,
Faut-il donc te quitter ainsi
Toi ma compagne, toi ma vie,
L'éclat de nos rires d'hier
Succombe aux larmes tortionnaires
Va, ne te retournes pas
Tu sais je ne t'en voudrai pas.

Si c'est là ta vie
Va mon amie
Va sans souci
Des jours enfuis;
Si c'est là ta vie
Va mon amour,
Va sans détour
Du temps qui court.

Peut-être, nous sommes nous trop dit
Ces mots que le temps a vieilli:
Je t'aime à folie pour la vie...
Que de l'amour courte est la vie,
A peine s'égrainent ses richesses
Que déja brillent ses détresses...
Je pars c'était une folie
Je ne veux pas rater ma vie.

Si c'est là ta vie
Va mon amie
Va sans souci
Des jours enfuis;
Si c'est là ta vie
Va mon amour
Va sans détour
Du temps qui court.

Voilà j'ai fini mon discours
La vie, l'amour me font frémir
La haine, la peur se font la cour,
Les larmes se mèlent aux rires;
Les caresses la tendresse
Se jettent à l'ivresse d'un jour
Un jour soleil un jour de pluie...
Un jour d'imminente détresse.

Si c'est là ta vie
Va mon amie
Va sans souci
Des jours enfuis;
Si c'est là ta vie
Va mon amour
Va sans détour
Du temps qui court.

1982...je pense, ou 1983.

C'est très bien, tu devrais écrire plus de chansons. Elle est légère et bien écrite. Mais attention à l'impératif du verbe aller, c'est « Va » et non « Vas » qui ne s'utilise qu'a l'indicatif. Une petite coquille peut-être ici : « Je t'aime à (la ?) folie pour la vie... »
Merci

Bonsoir Mompt, excuses moi pour le verbe aller: je vais corriger.
Je pense que tu as du remarquer que ce texte a déja nombre d'année mais il
est heureux qu'il plaise encore... pour la coquille je l'ai écrit jadis comme je
l'ai transmise, je ne change rien ...merci, à plus quand j'aurai récupérer mon portable
qui est retourner chez hp.