De quel film sont tirés ces dialogues ?

[Dona]

Alors alors ?


Indice : " À New York, Léon, un tueur à gages, recueille la petite Mathilda, 12 ans, qui vient d'échapper au massacre de toute sa famille."

[Montparnasse]

Léon a déjà été proposé et trouvé un peu plus haut ! Par toi ? Je ne sais plus...

[Dona]

Hé hé ! Non, c'était Liza qui avait déjà proposé ce titre J'avais posté un peu trop vite cette nouvelle énigme...


A toi maintenant !

[Montparnasse]

« Lorsque je vois une abeille porter le pollen de fleurs en fleurs et perpétuer ainsi la vie, j'ai presque les larmes aux yeux. »

[Liza]

Je ne dis rien, je laisse chercher !

[Montparnasse]

Eh oui, trop facile, c'est le surnom de Loustic.

[Liza]

Si difficile que cela ?

[Montparnasse]

Ils sont nuls ma pauvre Liza ! Je vais être obligé de poursuivre dans la facilité :

« Il se penche sur Tatiana haletante la poitrine découverte
Les doigts d'acier de Bob Sinclar se crispe sur la peau lumineuse de la jeune femme
Elle pousse un jappement rauque qui est à la fois un cri de douleur et un appel au plaisir »

Il faudra que j'efface ça avant que les académiciens n'investissent les lieux pour décorer l'un d'entre nous (qu'adviendrait-il s'ils veulent savoir où le grand auteur qu'il distingue a fait ses premières armes ?)

[Montparnasse]

Tu peux donner la réponse Liza ! Tu auras le droit de nous coller.

[Liza]

« Lorsque je vois une abeille porter le pollen de fleurs en fleurs et perpétuer ainsi la vie, j'ai presque les larmes aux yeux. »

Réplique prononcée par Bébel dans Le Magnifique. Je ne sais plus qui en est le réalisateur. La musique est de Claude Bolling...