Bonjour Dona
Question: le texte dans mon dossier n'apparaît-il pas avec la même disposition une fois
copier- coller ? Quand je l'ai enregistré, il n'y avait pas ces ruptures de phrases... Je demanderai
à ma fille.
Il y a deux ou trois point virgules de trop, c'est ma faute, je n'ai pas du appuyer sur la touche
majuscule pour obtenir le point, il faudra que je fasse plus attention... Tu me dis que la fin te
paraît un peu(bâclée) peut-être n'ai je pas su saisir l'intérêt qu'il y avait à décrire plus la
reconstruction... merci à plus.
Le déluge
- Le Merle Blanc
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Re: Le déluge
Le poète est un mensonge qui dit toujours la vérité: Jean Cocteau
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Re: Le déluge
Bonjour Merle Blanc, c'est la première fois que je lis un de tes (vrais) textes, je vais donc commenter de mon mieux, mais je ne suis pas douée en la matière ! Je ne lis pas les commentaires des autres pour ne pas être influencée, donc désolée si je répète ce qui a été dit
Cette première partie pleine de références à la nature déchaînée me plaît beaucoup !
Je trouve cependant que certaines phrases sont un peu longues, et la mise en forme parfois déroutante, avec des retours à la ligne peut-être mal placés. Aussi, je trouve que le discours de la déesse à la fin est moins élaboré, avec des mots un peu plus familiers.
Sinon, j'aime bien le fait de considérer les hommes au même niveau que les animaux, une jolie entre-aide ! Un petit air de Candide, devons-nous comprendre que ça ne durera pas ? Joli texte, j'aime ton style, et tu m'as appris de nouveaux mots !

J'aime bien cette opposition, frêle mais forte, qui, je trouve, montre que les personnes frêles ne sont pas inférieurs, au contraire.frêle chose dans sa capeline rouge évitant les branches qui s'abattaient avec fracas, s'accrochant au tronc des grands arbres
Ce détail m'a fait souriretenant d'une main glacée son petit sac

Cette première partie pleine de références à la nature déchaînée me plaît beaucoup !
Belle intention ! L'innocence animale remplacée par une certaine conscience, volonté de faire perdurer le cycle de la vie, j'aime cette tournure !des poissons se jetant par millions dans des mares perdues pour nourrir des ventres affamés
Je trouve cependant que certaines phrases sont un peu longues, et la mise en forme parfois déroutante, avec des retours à la ligne peut-être mal placés. Aussi, je trouve que le discours de la déesse à la fin est moins élaboré, avec des mots un peu plus familiers.
Sinon, j'aime bien le fait de considérer les hommes au même niveau que les animaux, une jolie entre-aide ! Un petit air de Candide, devons-nous comprendre que ça ne durera pas ? Joli texte, j'aime ton style, et tu m'as appris de nouveaux mots !

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Re: Le déluge
Bonjour Romi.
C'est surement ma faute si le texte apparaît mal disposé; comme je le disais à Dona,
dans mon dossier il est inscrit comme il doit l'être, c'est lors du copier coller que tout se
déboite... et, comme je l'avoue, je n'y connais pas grand chose sur ce petit clavier, je ne
sais d'où cela vient.
Pour le discours de la déesse, j'ai pensé, peut-être à tort, qu'il ne fallait pas trop compliquer:
l'humanité était tourmentée, et il fallait laisser aux animaux le temps de comprendre.
Cela dit, content de pouvoir enfin papoter avec toi à plus.
PS: j'ai beaucoup apprécié les fleurs du mal.
C'est surement ma faute si le texte apparaît mal disposé; comme je le disais à Dona,
dans mon dossier il est inscrit comme il doit l'être, c'est lors du copier coller que tout se
déboite... et, comme je l'avoue, je n'y connais pas grand chose sur ce petit clavier, je ne
sais d'où cela vient.
Pour le discours de la déesse, j'ai pensé, peut-être à tort, qu'il ne fallait pas trop compliquer:
l'humanité était tourmentée, et il fallait laisser aux animaux le temps de comprendre.
Cela dit, content de pouvoir enfin papoter avec toi à plus.
PS: j'ai beaucoup apprécié les fleurs du mal.
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Re: Le déluge
Bonjour cher Merle Blanc,
Ah oui d'accord, oupsi j'aurais peut-être dû lire les autres commentaires alors
Je retire ce que j'ai dit pour l'agencement alors !
Ah oui d'accord, oupsi j'aurais peut-être dû lire les autres commentaires alors

Dit comme ça je comprends mieux, quoiqu'ils sont considérés comme intelligents ici, un discours aussi élaboré qu'au dessus n'aurais, à mon avis, pas choquél'humanité était tourmentée, et il fallait laisser aux animaux le temps de comprendre

Plaisir partagé ! Oh merci encore pour le dessin, ça me touche d'autant plus que je ne suis vraiment pas douée dans ce domaine, c'est plutôt nouveau !Cela dit, content de pouvoir enfin papoter avec toi à plus.
PS: j'ai beaucoup apprécié les fleurs du mal.
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Re: Le déluge
C'est presque une épopée. Quelle imagination ! Toujours en lien avec la nature mais tu ajoutes cette fois un caractère mythologique.
Mes passages préférés. Parfois, ce sont des choses simples :
« le vent hurlait ses vocales sifflantes dans les cimes des arbres. »
« Et pourtant, dans l'immensité forestière, une enfant marchait ; »
Il y a peut-être un anachronisme à cet endroit. Tu décris dès le début cette enfant qui marche dans la forêt, puis, trois semaines s'écoulent, et nous la retrouvons au même point ? Je n'ai peut-être pas compris.
« Elle avait des yeux bleu océan rivés dans l'albâtre trop pâle qui colorait sa peau. »
« seul, un grand-duc, déployant ses ailes dans les tourbillons du vent, escortait la déesse de son vol majestueux. »
Le cataclysme que tu décris me replonge dans « La pluie » I et II, deux poèmes que j'ai écrits en 2015.
« La déesse nature disparut dans le soleil ; laissant hommes et animaux ébahis devant le fabuleux spectacle de ses ailes de feux ; »
Merci !
Mes passages préférés. Parfois, ce sont des choses simples :
« le vent hurlait ses vocales sifflantes dans les cimes des arbres. »
« Et pourtant, dans l'immensité forestière, une enfant marchait ; »
Il y a peut-être un anachronisme à cet endroit. Tu décris dès le début cette enfant qui marche dans la forêt, puis, trois semaines s'écoulent, et nous la retrouvons au même point ? Je n'ai peut-être pas compris.
« Elle avait des yeux bleu océan rivés dans l'albâtre trop pâle qui colorait sa peau. »
« seul, un grand-duc, déployant ses ailes dans les tourbillons du vent, escortait la déesse de son vol majestueux. »
Le cataclysme que tu décris me replonge dans « La pluie » I et II, deux poèmes que j'ai écrits en 2015.
« La déesse nature disparut dans le soleil ; laissant hommes et animaux ébahis devant le fabuleux spectacle de ses ailes de feux ; »
Merci !

Quand les Shadoks sont tombés sur Terre, ils se sont cassés. C'est pour cette raison qu'ils ont commencé à pondre des œufs.
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Re: Le déluge
Bonjour Momp.
Bien content que ce petit texte sans prétention te soit agréable.
Pour ce qui est de l'enfant , elle est la nature matérialisée en humain, elle
peut donc (enfin je le ressens ainsi) se déplacer à l'infini... tu as raison de t'en
inquiéter, ce n'est peut-être clair que dans ma tête.
Bien content que ce petit texte sans prétention te soit agréable.
Pour ce qui est de l'enfant , elle est la nature matérialisée en humain, elle
peut donc (enfin je le ressens ainsi) se déplacer à l'infini... tu as raison de t'en
inquiéter, ce n'est peut-être clair que dans ma tête.
Le poète est un mensonge qui dit toujours la vérité: Jean Cocteau
Re: Le déluge
Tout est déjà dit.
J'aime la façon dont est ficelée cette histoire.
J'aime la façon dont est ficelée cette histoire.
Le nègre en littérature c'est un blanc qui travaille au noir pour un écrivain marron ! (Popeck)