L'affaire Camille de Liza tout ce qui est écrit de la page 1 à 143
- Montparnasse
- Administrateur
- Messages : 4239
- Inscription : 04 janvier 2016, 18:20
- Localisation : Balaruc-les-Bains (34)
- Contact :
Re: L'affaire Camille
Je te crois pour Interphone, je ne savais pas que c'était une marque.
Mets Camille dans Récits bien sûr, c'est toi qui voulais le « protéger ».
Mets Camille dans Récits bien sûr, c'est toi qui voulais le « protéger ».
Quand les Shadoks sont tombés sur Terre, ils se sont cassés. C'est pour cette raison qu'ils ont commencé à pondre des œufs.
Re: L'affaire Camille
C'était pour l'édition, finalement, il s'en fiche. Il pense que cela peut donner envie aux lecteurs de commander le livre papier ou le ebook. Voire ceux déjà parus.
- Montparnasse
- Administrateur
- Messages : 4239
- Inscription : 04 janvier 2016, 18:20
- Localisation : Balaruc-les-Bains (34)
- Contact :
Re: L'affaire Camille
Bon, je le déplace...
Quand les Shadoks sont tombés sur Terre, ils se sont cassés. C'est pour cette raison qu'ils ont commencé à pondre des œufs.
- Montparnasse
- Administrateur
- Messages : 4239
- Inscription : 04 janvier 2016, 18:20
- Localisation : Balaruc-les-Bains (34)
- Contact :
Re: L'affaire Camille
Même pas besoin de changer les liens, les sujets sont référencés dans la DB.
Quand les Shadoks sont tombés sur Terre, ils se sont cassés. C'est pour cette raison qu'ils ont commencé à pondre des œufs.
Re: L'affaire Camille
Voilà Miss, c'est fait ! Bonne lecture à tous.
Re: L'affaire Camille
Je ne l'ai relu qu'une fois, je tends le dos.
- Montparnasse
- Administrateur
- Messages : 4239
- Inscription : 04 janvier 2016, 18:20
- Localisation : Balaruc-les-Bains (34)
- Contact :
Re: L'affaire Camille
J'ai fait ma lecture. Voici ce que j'ai trouvé, je laisse tomber la ponctuation, je suis incompétent :
Page 54, vers la fin : « étonnée que l’on lui parle. » ----> « étonnée qu’on lui parle. » ?
Page 58, à la fin : « Clem fonce vers le cagibis et compose un numéro. » ----> « Clem fonce vers le cagibi et compose un numéro. »
Page 59, à la fin : « – À la rentrée, j’étais très malheureuse dans une classe, et si bien après avoir changé, je comprends son envie de partir. »
Page 54, vers la fin : « étonnée que l’on lui parle. » ----> « étonnée qu’on lui parle. » ?
Page 58, à la fin : « Clem fonce vers le cagibis et compose un numéro. » ----> « Clem fonce vers le cagibi et compose un numéro. »
Page 59, à la fin : « – À la rentrée, j’étais très malheureuse dans une classe, et si bien après avoir changé, je comprends son envie de partir. »
Quand les Shadoks sont tombés sur Terre, ils se sont cassés. C'est pour cette raison qu'ils ont commencé à pondre des œufs.
Re: L'affaire Camille
J'emploie la règle de que comme l'on me l'a apprise.
Le L apostrophe de l'on n'est pas une consonne euphonique, mais l'article défini : par l'on on évoque l'homme en général. Ce nom a été transformé en pronom indéfini (désignant un individu non déterminé) et son article défini est devenu facultatif. Schématisons en exemples :
L'homme est bien peu de chose.
L'on est bien peu de chose.
On est bien peu de chose.
Voici ce que recommandent les grammaires modernes.
1. L'on est préférable à on
a) Quand cela permet d'éviter un hiatus (suite de deux voyelles phonétiques). Le cas se présente notamment après ces mots : et, ou, où, qui, quoi, si.
C'est un retour aux sources, si on veut. (si on : hiatus)
C'est un retour aux sources, si l'on veut. (préférable)
b) Après le mot que, pour éviter la syllabe malsonnante qu'on.
Il faut assumer ce qu'on dit. (qu'on : malsonnant)
Il faut assumer ce que l'on dit. (préférable)
Cette recommandation vaut surtout quand cette syllabe qu'on est elle-même suivie d'un verbe commençant par con- ou com-.
Ce qu'on conçoit bien s'énonce clairement. (qu'on con- : malsonnant)
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement. (préféré... par Boileau !)
2. À l'inverse, on est préférable à l'on
a) Quand on est suivi d'un mot commençant par l, pour éviter une allitération (répétition d'une même consonne).
On se cultive quand l'on lit beaucoup. (l'on lit : allitération)
On se cultive quand on lit beaucoup. (préférable)
Cela demeure vrai dans les cas présentant un hiatus. Cet hiatus est un moindre mal que l'allitération.
C'est une famille où l'on lit beaucoup. (l'on lit : allitération)
C'est une famille où on lit beaucoup. (où on : hiatus, mais préférable)
b) Après dont. La suite dont on (le t se prononce en faisant la liaison) est préférable à dont l'on.
C'est un roman dont l'on dit beaucoup de bien. (dont l'on : à éviter)
C'est un roman dont on dit beaucoup de bien. (préférable)
Ces règles sont plus ou moins bien respectées et ne sont nullement obligatoires, mais elles sont recommandées dans un français soigné.
Plusieurs auteurs utilisent l'on dans d'autres contextes, des contextes où l'euphonie n'est pas en cause, notamment en début de phrase : L'on ne saurait mieux dire. Ces emplois, qui se rencontrent surtout dans un style recherché ou littéraire.
Lorsque l'on parle, dans le style, c'est l'homme.
Et l'homme, c'est l'on !
Le cagibi bien sûr ! Je vais vérifier le tapuscrit (en panne pour le moment) les corrections seront envoyée avec le prochain épisode.
Tu n'as trouvé que cela sur dix pages non relues, je me commande un habit vert dès demain.
Merci de vous taper la longueur.
Le L apostrophe de l'on n'est pas une consonne euphonique, mais l'article défini : par l'on on évoque l'homme en général. Ce nom a été transformé en pronom indéfini (désignant un individu non déterminé) et son article défini est devenu facultatif. Schématisons en exemples :
L'homme est bien peu de chose.
L'on est bien peu de chose.
On est bien peu de chose.
Voici ce que recommandent les grammaires modernes.
1. L'on est préférable à on
a) Quand cela permet d'éviter un hiatus (suite de deux voyelles phonétiques). Le cas se présente notamment après ces mots : et, ou, où, qui, quoi, si.
C'est un retour aux sources, si on veut. (si on : hiatus)
C'est un retour aux sources, si l'on veut. (préférable)
b) Après le mot que, pour éviter la syllabe malsonnante qu'on.
Il faut assumer ce qu'on dit. (qu'on : malsonnant)
Il faut assumer ce que l'on dit. (préférable)
Cette recommandation vaut surtout quand cette syllabe qu'on est elle-même suivie d'un verbe commençant par con- ou com-.
Ce qu'on conçoit bien s'énonce clairement. (qu'on con- : malsonnant)
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement. (préféré... par Boileau !)
2. À l'inverse, on est préférable à l'on
a) Quand on est suivi d'un mot commençant par l, pour éviter une allitération (répétition d'une même consonne).
On se cultive quand l'on lit beaucoup. (l'on lit : allitération)
On se cultive quand on lit beaucoup. (préférable)
Cela demeure vrai dans les cas présentant un hiatus. Cet hiatus est un moindre mal que l'allitération.
C'est une famille où l'on lit beaucoup. (l'on lit : allitération)
C'est une famille où on lit beaucoup. (où on : hiatus, mais préférable)
b) Après dont. La suite dont on (le t se prononce en faisant la liaison) est préférable à dont l'on.
C'est un roman dont l'on dit beaucoup de bien. (dont l'on : à éviter)
C'est un roman dont on dit beaucoup de bien. (préférable)
Ces règles sont plus ou moins bien respectées et ne sont nullement obligatoires, mais elles sont recommandées dans un français soigné.
Plusieurs auteurs utilisent l'on dans d'autres contextes, des contextes où l'euphonie n'est pas en cause, notamment en début de phrase : L'on ne saurait mieux dire. Ces emplois, qui se rencontrent surtout dans un style recherché ou littéraire.
Lorsque l'on parle, dans le style, c'est l'homme.
Et l'homme, c'est l'on !
Le cagibi bien sûr ! Je vais vérifier le tapuscrit (en panne pour le moment) les corrections seront envoyée avec le prochain épisode.
Tu n'as trouvé que cela sur dix pages non relues, je me commande un habit vert dès demain.
Merci de vous taper la longueur.
- Montparnasse
- Administrateur
- Messages : 4239
- Inscription : 04 janvier 2016, 18:20
- Localisation : Balaruc-les-Bains (34)
- Contact :
Re: L'affaire Camille
Trop compliqué pour moi, je préfère regarder les jolies pêcheuses de crevettes en maillot de bain...
Quand les Shadoks sont tombés sur Terre, ils se sont cassés. C'est pour cette raison qu'ils ont commencé à pondre des œufs.
Re: L'affaire Camille
Tu as raison, rien ne vaut la simplification anglaise.
Roxane va traduire mon texte aux petits oignons.
Sans dénaturer les expressions.
Roxane va traduire mon texte aux petits oignons.
Sans dénaturer les expressions.