L'affaire Camille de Liza tout ce qui est écrit de la page 1 à 143

[Montparnasse]

Ton résultat, c'est pour l'année ou seulement pour une épreuve ?

Camille fera combien de pages ? C'est ton premier « gros » livre ? Tu signeras avec un pseudo ou de ton nom ?

[Liza]

C'est un contrôle annuel.
Le bac, je m'en fichais, je pouvais le repasser.
Cette fois, c'est la troisième année ou la porte.
Donc primordial pour mon avenir.
J'enrage, je dois encore attendre demain !

[Liza]

Je compte étirer Camille vers deux cents pages, à peu près, cela reste tributaire de l'énigme.

J'ai déjà rédigé, plusieurs fois, des mémoires privées familiales de cent cinquante pages.

Le signature, je ne sais pas encore, j'ai deux options :

L'idée a été déposée à la SCAM par Lou, je le termine à sa place, donc signature Lou.

Si j'en hérite totalement, je ne vois pas l'intérêt d'utiliser un pseudonyme, sauf si le texte est moche.

Dans ce cas on tire en touche pour rester fière et nier un écrit vain !

[Loustic]

Si le texte est moche tu le sais avant la signature, donc !

Pas besoin de signer, tu ne publies pas !

[Montparnasse]

Episode 9

Page 89, en bas : « Ce genre (de) blessure est très douloureux. »

Page 91, milieu : « Hier lorsque mon père m’a annoncé qu('il) allait à Londres, j’ai proposé de le suivre. » (si j'ai bien compris)

Page 92, en haut : « fils de Malcolm Mallory(,) richissime industriel américain, » (je crois)

Page 92, en bas : « et de ma puissance (de) fils de patron avec succès. »

Page 93, en haut : « C’est dingue(,) non ? » (je crois)

Page 95, au milieu : « Cette fois(,) tu laisses tes empreintes, » (je crois)

Page 95, en bas : « moment...Il ne faut pas « griller » » (il manque une espace avant « Il »)

Page 96, au milieu : « je n’ai pas le sens concret des réalités. » (pléonasme ?)

Page 97, en haut : « Des choses utiles(,) paraît-il ! » (je crois)

Je ne suis pas sûr pour les virgules... Je suis un mauvais ponctueur alors ne m'accorde pas une confiance aveugle. Tes proches sont sûrement plus compétents.

J'ai bien aimé cet épisode. C'est toujours aussi rythmé, bien construit. On peut te reprocher la pléthore de dialogues et donc, la rareté des descriptions.

[Liza]

En plus, j'ai « égaré » l'épisode. La recherche Windows 10 est nulle.

[Liza]

J'ai ajouté l'épisode 11 de L'affaire Camille

Le 31 août 2017 - 7 pages en plus de la page 109 à la page 117.

Bonne lecture

Ma page Spleen...

[Montparnasse]

Merci ! Je lis bientôt...

[Montparnasse]

Episode 11

Page 113, vers la fin : « – À ce propos, commissaire, comment va votre mari... » (un point d'interrogation ?)

Idem : « Dans les deux cas, c’est lié à l’une ces deux enquêtes en cours. » (des au lieu de ces ?)

Page 115, en haut : « les portes sectionnelles » (qu'est-ce que c'est ?)

Page 115, vers la fin : « – Appuyer le petit bouton situé sur les portières ou l’un de ceux au plancher. » (– Appuyer sur le petit bouton situé sur les portières ou sur l’un de ceux au plancher. ?)

Je n'ai rien vu d'autres mais c'est dur (pour moi) de suivre l'histoire et de corriger en même temps. J'ai un petit cerveau...
Quant à toi, où trouves-tu toutes ces idées ? Sous ta chevelure en friche ? (smile)

[Liza]

Des idées, il y en a partout, surtout dans une tête un peu déphasée. J’en ai des folles pour bâcler la fin de Camille. Puisqu’elle n’est plus soumise au visa Jeunesse, j’ai envie de tout faire péter au lance-roquettes. Le pire, Papasous habite la pointe de la Floride à Miami.
Dois-je faire l’impasse sur l’ouragan ? il risque de « dater » l’histoire.

Une porte sectionnelle, c’est une porte qui glisse sous le plafond, articulée en section d’environ cinquante centimètres de haut pour passer l’angle droit mur/plafond. Celle de Lou a quatre sections pour deux mètres quarante de hauteur. En arrivant, il suffit de presser la télécommande dans la voiture et elle se lève. À pied, il y a un Digicode.

Le pire : lorsqu’elle n’est pas complétement levée. Un coup je me la suis prise en plein front. Maintenant, je ne tâte plus le bas à la canne, je cherche, à la main, au niveau de la touffe en friche.